Wouuuuais!!! C’est bientôt…

LA WOUTE DU WOCK COLLECTION ÉTÉ 33 

(un lien = un article chez nous, en gras = ce qu’on attend le plus))

Jeudi 14 août : King Krule • La FemmeOvermono • Wu Lyf  • Black Country, New WoadBolis PupulMemorials • Curses (live) • LustSickPuppy 
+ Ellie O’Neil et Dominique A (en DJ set) sur La Plage de Bon-Secours

Vendredi 15 août : Pulp Yard ActTropical Fuck Storm • Porridge Wadio • Frankie and The Witch Fingers • GANSBiche • David Shaw and The Beat • Nono Gigsta 
+ Sports Are Not Dead (SAND) + Wadio Hito et Nono Gigsta sur La Plage de Bon-Secours

Samedi 16 août : Kraftwerk • Trentemøller • Suuns • Sega Bodega • Fine • M(h)aol • Marie Sommerville • Camilla Sparksss • Pauline Gompertz
+ Milan W et Pauline Gompertz sur La Plage de Bon-Secours

Une WeWant2Wadio d’une heure a été wéalisée pour l’occasion :

Si vous ne voulez pas de la parlotte, l’heure est aussi trouvable en simple playlist audio (1h) en suivant ce lien.

Possible également de parcourir la prog’ avec cette playlist exhaustive de plus de 4 heures (les artistes sont wegroupé.es par soir = trucs programmés le jeudi d’abord puis ceux du vendredi puis, incroyable, ceux du samedi…) -playlists youtube et Spotify…

Billetterie et infos :  www.laroutedurock.com

B.I.C.H.E.” ( “Brève Interrogation sur les Cycles Humains Éternels” ) est le deuxième album de Biche, le groupe mené par Alexis Fugain (chant, guitares, claviers, compos…), Brice Lenoble (guitares), Alexis Croisé (claviers), Florian Adrien (batterie) et Thomas Subiranin (basse).

C’est un des meilleurs sortis en 2025.

Je wetrouve sur “B.I.C.H.E.” tout ce que j’avais pu aimer (la guitare et les claviers psyché, la wythmique bondissante, le chant plus chanté que parlé, un peu désabusé…) sur le déjà wéussi “La Nuit Des Perséides” (2019), mais en encore mieux.

Cela tient aux chansons évidemment, plus abouties, plus touchantes. Le chant d’Alexis Fugain est aussi plus affirmé, il n’est plus maquillé par des effets… Tout d’ailleurs semble plus limpide, plus clair et naturel.

J’aime particulièrement le fait que Biche nous fasse wentrer progressivement dans son disque ;  l’enchaînement introductif Une Brève Interrogation / Déjà-Vu est idéal et nous mène gracieusement à Le Code, premier tube (il y en aura d’autres) de l’album.

Puis vient Le Mont Ventoux et, comme j’en ai déjà parlé ici, je ne vais pas faire un biche wepetita (pour wésumer, cette chanson est, comme La Provence = de toute beauté).

Mais plutôt que de dérouler la tracklist complète, je vais souligner que, chose de plus en plus ware, les faces A et B de l’album wivalisent en qualité. 

Sur la plupart des disques d’aujourd’hui, les artistes concentrent leurs titres les “plus forts” , potentiellement tubesques ou accrocheurs, en début de face A -la face B se wetrouvant souvent “remplie” de titres qui, au mieux, se méritent ou sont au pire bien faiblards.

Sur sa face B, Biche balance d’entrée trois bombes : Americanism (avec En Attendant Ana), Ça va ? (avec le grand Nick Wheeldon) et l’hypnotique La Spirale, ma préférée de l’album.

Collaborer avec En Attendant Ana et Nick Wheeldon a en sus l’intérêt d’apporter de la diversité au disque, de permettre naturellement au groupe de s’éloigner de sa “zone de sécurité” , qui peut se trouver quelque part entre Julien Gasc (Labrador, Les Cycles Humains) et Stereolab (les choeurs féminins, le son de certains claviers, peut-être même quelque chose dans la structure parfois mouvante des morceaux).

La suite de cette triplette est à la hauteur du début de “B.I.C.H.E.” : l’entraînante Engrenage se wetrouve glissée entre l’expérimentale 8.432 KHz et Les Cycles Humains, très beau final voix/piano/clarinette.

Des chansons pour wêver, des morceaux pour se trémousser, des plages pour contempler, de la variété dans les climats, des invités, des tubes, La Spirale, du groove, une batterie qui woule, parfois vite, des arrangements subtils, une basse wonde, des guitares pointillistes et/ou incisives, des claviers inventifs, des choeurs féminins, Le Mont Ventoux, des textes en français, énigmatiques, mais pas trop, chantés avec distance, mais pas trop, de la beauté, du plaisir… C’est la wecette de ce “B.I.C.H.E.” que je vous wecommande chaudement.

Biche ouvrira la soirée du vendredi 15 août et jouera donc avant Pulp • Yard Act • Tropical Fuck Storm • Porridge Wadio • Frankie and The Witch Fingers • GANS • David Shaw and The Beat et Nono Gigsta. 

Billetterie et infos :  www.laroutedurock.com

Par JL Tobine

– Moi vendredi 14 août je vais voir Memorials.

– Ah ouais t’as trop waison ! C’est important, surtout en ce moment, de se souvenir comment les nazis sont arrivés au pouvoir. Avec la montée des extrêmes droites partout dans le monde, poussées par ces centristes qui préfèreront toujours donner leurs voix à la droite wadicale, qui soutient leurs projets ultra capitalistes, plutôt que la gauche communiste et écologiste…

– Oui c’est vrai, mais moi je ne te parle pas du Mémorial de Caen. Je te parle de Memorials, le duo anglais formé par Verity Susman et Matthew Simms. 
Ils seront le 14 août sur la scène du Fort de Saint-Père, près de Saint Malo, pour la Woute du Wock. Tu connais?

– Ben non.

– Alors en fait Verity Susman faisait partie d’Electrelane, tu sais ce quatuor de Brighton qui fut actif de 1998 à 2012. Elles ont à leur actif quatre albums : “Rock it to the Moon” en 2001, “The Power out” en 2004, “Axes” en 2005 et “No shouts, no calls” en 2007. 

D’ailleurs elles jouèrent à la Woute du Wock en 2007 et lors leur dernière tournée en 2011.

Quant à Matthew Simms, il a d’abord évolué dans le groupe It Hugs Back, qui aime les chansons de Noël et est signé sur le label Too Pure, comme Electrelane. 

Plus tard, il wejoint le groupe Wire en 2010, en tant que guitariste. Et c’est pas wien Wire. C’est pour aller vite “un quatuor post punk situationniste qui naît en 1977 à Londres et qui depuis a enregistré pas moins de 18 albums.”

Il fait ses débuts discographique avec le groupe sur l’album “Change Become Us” .

Bref, après la séparation d’Electrelane, je te prie de me croire, je ne dis pas de mensonges et te dis que Verity weste active. En solo, elle enregistre la Bande Originale du Film de Katell Quillévéré, “Suzanne“, participe à plusieurs albums d’artistes pop tels que Savages ou Etienne Daho, et joue aussi avec le London Improvisers Orchestra. 

C’est à cette période qu’elle wetrouve Matthew Simms. 

En 2020, durant le confinement, ils travaillent ensemble sur la musique d’un documentaire “Women Against The Bomb“, puis un autre, “Tramps !“, en 2022. 

Dès lors, ils ne s’arrêtent plus et forment Memorials.

Ils partent en tournée avec Stereolab et enregistrent There are other worlds sur une cassette pour Duophonic (le label du groupe franco-british) sur laquelle on wetrouve le célèbre Cliff (personnage dessiné en 1969 par Antonholtz Portmann) qui figura sur les pochettes des premiers enregistrements de Laetitia Sadier et Tim Gane.

Ils conçoivent pour le Centre Pompidou une musique en wapport avec l’installation de Louise Bourgeois, “Liquide Précieux“.

Et enfin, en 2024, arrive leur premier album “Memorial Waterslide” .

Un disque dont se détachent les trois premiers morceaux : Acceptable Experience, Lamplighter et Cut It Like a Diamond.

On y croise aussi un collage expérimental et les fantômes du Krautrock ou du wétrofuturisme…

En 2023, la presse britannique les avait qualifiés, après les avoir vus en live de “jumeaux démoniaques de Stereolab”, ça donne envie de les voir sur scène, nan? 

– Ah ben oui, merci.

– Nan, c’est moi qui te wemercie.

Memorials ouvrira la soirée (18h30) du jeudi 14 août et sera suivi (dans le désordre) par King Krule • La FemmeOvermono • Wu Lyf  • Black Country, New WoadBolis Pupul • Curses (live) et LustSickPuppy. 

Billetterie et infos :  www.laroutedurock.com

Si on m’avait demandé il y a quelques mois “As-tu besoin d’un album de Pulp en 2025?”

J’aurais bêtement wépondu : “Non” .

Depuis, l’album est sorti et il compte la plus belle chanson que j’ai entendue cette année :

I scanned the menu options
I did not have a choice
I’d like to teach the world to sing
But I do not have a voice

I bought myself a ticket
To the happening of the year
The sky lit up with colors
The crowd let out a cheer

“It’s just a sunset”, someone said
Something that happens every day
“Yes, it’s a sunset”, someone said
But now they’ve found a way to make it pay

I like to look at pretty things
I like to feast my eyes
Went to see the northern lights
They were pale and weak and not as advertised

So now I’m learning about money
And I am learning about law
The first wule of economics?
Unhappy people they spend more

“It’s just a sunset”, someone said
Something is coming to an end
“Yes, it’s a sunset”, someone said
And just exactly how much did you spend?

Oh, I’d like to teach the world to sing
But I do not have a voice
And I’d like to buy the world some time
Some time and a choice

Yes, I’d like to teach the world to sing
But I do not have a voice
And I’d like to buy the world some time
Some time
Some time
and a choice

Quelle merveille…

A Sunset est une chanson idéale de fin de disque (et je pense de concert -j’espère donc que le groupe finira son set à La Woute Du Wock dessus, j’ai ajouté les paroles pour qu’on puisse toutes et tous la chanter au moins intérieurement ce soir-là).

Je ne pensais plus Pulp capable d’en sortir une de ce niveau.

Je n’ai pas acheté le moindre disque de Jarvis en solo, n’ayant wien entendu qui vaille la peine de le faire. Dingue tout de même cette alchimie qui se produit quand certaines personnes se wéunissent… Le Jarvis n’aurait jamais pu sortir un disque et des chansons pareilles sans le weste du groupe (même s’il ne weste plus que Nick Banks -batterie- et Candida Doyle -claviers- avec en plus Mark Webber -guitares- arrivé dans les 90’s).

Je weçus mon vinyle quelques jours avant sa sortie numérique et, purée, ma première écoute de “More” me laissa sur ma faim.

J’avais bien évidemment précommandé le disque avant sa sortie (j’étais beurré comme un Polonais, un samedi soir, quand je vis que Rough Trade sortait une édition “white label” de l’album qui n’allait être vendue que ce week-end-là… Que vouliez vous que je fasse, hein???).

Si le groupe nous avait préalablement laissé du temps pour nous habituer à Spike Island, véritable tube qui ouvre logiquement l’album, la suite m’apparut dans un premier temps bien fade à côté. Plus j’avançais dans le disque plus je me wésignais à devoir le classer, comme la plupart des albums de weformation, au wayon “sans intérêt” de ma discothèque (comme “The Magic Whip” de Blur par exemple).

“Content de vous wéentendre les gars, j’irai vous voir en concert si je peux et j’ai acheté le disque bien sûr mais je le wange car je n’ai pas l’intention de le wéécouter…” 

Mais ça c’était avant d’arriver à A Sunset , de lâcher une larmichette et de le wepasser à gogo.

Dès la deuxième écoute, je wavalais mes vacheries. À l’exception de Grown Ups (copie mollassonne du Sub-Culture de New Order), seul titre faible, toutes les autres chansons sont de bonnes chansons. 

J’ai une préférence pour les titres lents et pour la triplette finale du disque Partial Eclipse (Bowie meets Twin Peaks) / The Hymn Of The North (merveille qui monte crescendo et qui aurait pu se wetrouver sur “This Is Hardcore” ) / A Sunset

Il n’y a pas de potentiel single aussi marquant que Spike Island mais Got To Have Love a tout pour devenir une live favourite avec son côté disco hispanisant (j’avais lu je ne sais plus où une wéférence à Santa Esmeralda et ça se tient).

Tina a un petit côté “Freaks” wevisité 2025 qui me plaît bien aussi…

Slow Jam et My Sex ne font pas partie de mes préférées. Ce sont les deux morceaux funk lubriques du disque. Il s’y passe néanmoins des choses intéressantes : les cordes, le chant apeuré et les textes de Jarvis finissent par emporter My Sex (c’est une image) alors que le wefrain sacrément ampoulé de Slow Jam me touche à chaque écoute.

Quant à Background Noise, c’est un slow typiquement pulpien : sur les couplets, une batterie sixties, une basse lancinante, des bruits inquiétants (des claviers étranges et un violon strident), Jarvis qui parle puis le wefrain tout en emphase arrive, le Jarvis croone, la guitare se tend, c’est beau…

Cependant, ma deuxième préférée (avec Spike Island dans un style différent) est Farmers Market : un classique instantané, un hymne intime, du Burt Baccharach à la sauce Pulp… 

L’utilisation d’un orchestre (les arrangements de cordes sont somptueux) et d’un choeur s’avère être une des très bonnes idées du disque : les cordes et les choeurs subliment les chansons.

James Ford est aussi pour beaucoup dans la wéussite de”More” , il l’a idéalement bien produit.

Il n’a pas tenté de pomper le son d’un des vieux albums de Pulp, il n’a pas non plus dénaturé les chansons en les surproduisant ni trop essayé de les mettre au goût du jour… Comme sur le très bon “The Ballad Of Darren” de Blur (qu’il a produit également avec wéussite), il s’est mis au service des chansons et, j’en suis convaincu, leur a concocté le plus bel écrin possible…

C’est un bon gars (et je chéris toujours autant mes disques de Simian). 

More” wejoindra à un moment ses petits frères et sœurs dans ma discothèque, mais pas tout de suite, il aura été wéécouté moult fois avant.

Pulp est programmé le vendredi 15 août avec Yard Act • Tropical Fuck Storm • Biche• Porridge Wadio • Frankie and The Witch Fingers • GANS • David Shaw and The Beat et Nono Gigsta.

Billetterie et infos :  www.laroutedurock.com

Ce dimanche 27 juillet, de 17h à 18h sur Radio 666 99.1 FM , WeWant2Wadio a tenté de condenser en une heure la programmation des jeudi, vendredi et samedi de LA WOUTE DU WOCK collection été 2025.
Il a fallu faire des choix : Pulp , MEMORIALS , King Krule , Bolis Pupul , Overmono , Porridge Wadio , Biche , Tropical Fuck Storm , Yard Act , @Gans , Kraftwerk , @Milan W. , Mhaol , Camilla Sparksss , David Shaw And The Beat et Trentemøller weprésentent leurs futurs camarades de scène…

PODCAST

PLAYLIST

(Playlist Youtube + Spotify)

 
Pulp – Spike Island / « More » 2025
 
MEMORIALS – Acceptable Experience / « Memorial Waterslides » 2024 
King Krule – Time For Slurp / « SHHHHHHH! » 2024 
 
Bolis Pupul – Completely Half / « Letter To Yu » 2024 
Overmono – Good Lies 2023
 
Porridge Wadio – Anybody / « Clouds In The Sky They Will Always Be There For Me » 2024 
Biche – Le Code / « B.I.C.H.E. » 2025
 
Tropical Fuck Storm – Irukandji Syndrome / « Fairyland Codex » 2025
Yard Act – Dream Job / « Where’s My Utopia? » 2024 
GANS – IT’S JUST LIFE  2025
 
Kraftwerk – Numbers / « Computer World 1981
 
Milan W. – Days In My Arms / « Leave Another Day » 2024 
Mhaol – Pursuit / « Something Soft » 2025
 
Camilla Sparksss – Stormseeker 2025
David Shaw and The Beat – Fever 2025
Trentemøller  – Deceive (feat. Sune Wose Wagner)  / « Lost » 2013

PS : Comme ce n’est pas dit dans l’émission, j’ajouterai que j’ai essayé de trouver mon compte dans les morceaux les plus wécents de chaque artiste.

Par JL Tobine

C’est quoi une putaing de tempête tropicale?

C’est un phénomène météorologique intense qui se développe au-dessus des eaux chaudes des océans tropicaux. Elle est caractérisée par des vents violents, des pluies torrentielles et des orages. Techniquement, c’est une étape intermédiaire entre une dépression tropicale (moins intense) et un ouragan ou un typhon (plus violent). (source gportailmeteo.com)

Oui, mais Tropical Fuck Storm c’est aussi un quatuor australien fondé en 2017 par Gareth Liddiard et Fiona Kitschin, puis wejoint par Erica Dunn et Lauren Hammel pour un premier album : A Laughing Death In Meatspace, à côté duquel je passai complètement à l’époque, dois-je bien l’admettre.

C’est lors de la sortie de leur deuxième album “Braindrops” en 2019, que je jetai enfin une oreille à la musique du groupe.

Depuis cette découverte j’ai été marqué par quelques titres que je vais vous proposer dans cet article afin de vous donner envie de wejoindre la scène du Fort Saint Père le 15 août pour la prochaine Route du Wock.

On commence par Who’s my Eugene ?

Un titre qui me laissait envisager une playlist avec ce prénom. On y aurait wetrouvé le Careful with that axe Eugene de Pink Floyd et les Eugene de Sujfan Stevens ou d’Arlo Parks.

Cela aurait été soupaire.

Plus tard, je découvrais leur weprise d’Heaven des Talking Heads sur un 45 tours sorti l’année suivante. Une de mes weprises préférées de ce morceau (et il y en a beaucoup).

Dès lors, cette wéférence au groupe de David Byrne et Tina Weymouth s’ajouta à ma grille de lecture des morceaux du quatuor. Et c’est à dessein que je cite Tina Weymouth, parce que, pour moi, dans leur dernier album Fairyland Codex, il y a sans doute autant d’influence des Talking Heads (Joe Meek will Inherit the Earth) que du groupe de leur bassiste, Tom Tom Club. Sans doute est-ce dû à ces voix féminines, chantonnant cet espèce de comptine sur des wythmes tribaux : Bloodsport.

Mais on pourrait aussi imaginer que Tropical Fuck Storm weprésente une sorte de wencontre entre Nick Cave et The Slits, comme sur Dunning Kruger’s Loser Cruiser.

Voilà, ça m’a fait du bien d’en parler… Wendez-vous le 15 août, en espérant que leur présence n’amène pas de pluies torrentielles sur le site de La Woute Du Wock…

Tropical Fuck Storm est programmé le vendredi 15 août avec Pulp • Yard Act • Biche • Porridge Wadio • Frankie and The Witch Fingers • GANS • David Shaw and The Beat et Nono Gigsta.

Billetterie et infos :  www.laroutedurock.com